La COVID-19, la santé mentale et le rôle des villes

La crise de santé mentale qui sévit dans notre pays est devenue plus aiguë en raison de la pandémie de la COVID-19, exacerbée par une année de perturbations dans le tissu social et économique de nos collectivités. Le nombre croissant de décès liés à la COVID, l’incertitude économique et les mesures de santé publique qui restreignent les interactions sociales pèsent sur tous les citoyens.

Les Villes ont comblé les écarts pour remédier à ces difficultés complexes en élaborant et en mettant en oeuvre rapidement des initiatives innovatrices à l’échelle communautaire. Dans de nombreuses villes, des stratégies ciblées ont permis aux plus vulnérables de recevoir l’aide dont ils ont besoin, mais ces mesures doivent se poursuivre au-delà de la pandémie pour garantir des résultats positifs.

Le moment d’élargir ces approches réussies est arrivé. Il faut trouver de nouveaux moyens pour collaborer avec les Le moment d’élargir ces approches réussies est arrivé. Il faut trouver de nouveaux moyens pour collaborer avec les autres ordres de gouvernement afin d’améliorer l’accès aux services de santé mentale de première ligne, au logement avec services de soutien et à d’autres solutions essentielles.

La mise en oeuvre de mesures dépendra d’une collaboration intersectorielle. Les villes font de grandes choses lorsqu’elles apprennent les unes des autres ce qui a fonctionné, ce qui n’a pas fonctionné, et quoi faire ensuite.

La Ville de Calgary et le Projet urbain ont rassemblées des élus municipaux et des intervenants importants des gouvernements fédéral et provinciaux, de la société civile, du monde universitaire et du secteur privé pour discuter des approches les plus efficaces et des obstacles à éliminer pour une plus grande mobilisation et action collective.